Table des matières
Qui sont les savants en Islam?
En arabe, le mot ʿālim (عالِم) signifie « savant » son pluriel est ʿulamā’ (عُلَماء). Le ʿālim est « celui qui détient la science » (ʿilm), mot de la racine ع ل م qui donne le verbe « ʿalima », « savoir », « connaître ».
Quels sont les savants physiciens?
Les célèbres physiciens : Einstein, Archimède, Galilée, Newton. En effet, Albert Einstein, avec sa théorie de la relativité générale, a radicalement changé la façon dont nous appréhendons l’espace et le temps. Par ailleurs, il reçut le prix Nobel en 1921 pour son explication de l’effet photoélectrique.
Qui sont les héritiers des prophètes?
La supériorité du savant [religieux] par rapport au dévot est comme la supériorité de la pleine lune par rapport aux autres corps célestes. Les savants [religieux] sont les héritiers des prophètes. Les prophètes ne laissent pas d’argent en héritage, mais ils laissent plutôt la connaissance.
Quelle est l’histoire des sciences arabes?
Dans l’ histoire des sciences, on désigne par sciences arabes, les sciences qui se sont épanouies en terres d’Islam entre le VIIIe siècle et le XVe siècle. L’adjectif « arabe » fait référence à la langue scientifique qui, à cette époque, permet de transmettre les connaissances scientifiques d’un bout à l’autre de l’empire arabo-musulman.
Pourquoi l’extension du monde arabo-musulman?
L’extension du monde arabo-musulman a mis en contact plusieurs civilisations différentes : l’empire arabe, construit à partir du VIIe siècle par une suite de conquêtes militaires et religieuses, prend le contrôle politique des territoires anciennement hellénisés ( Alexandrie d’Égypte par exemple).
Quels sont ceux qui seront sauvés?
Il convient plutôt de dire que ceux qui seront sauvés sont ceux qui suivent les Compagnons – que Dieu les agrée – et la majorité de la Communauté, en s’attachant tout particulièrement à ce qui est nécessairement connu de la religion. Les autres sont, quant à eux, dans l’égarement.
Qui sont les premiers à traduire les textes arabes?
Les premiers à traduire les textes arabes sont les Espagnols et les Italiens, ces documents pénètrent lentement en France. Paris est au XIIIe siècle le centre le plus important d’études philosophiques et théologiques du monde latin, les cours dispensés dans son université sont réputés dans toute l’Europe.