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Qui étaient les druides quel était leur fonction?
Les druides « s’occupent des choses sacrées, ils dirigent les sacrifices publics et privés, et interprètent tout ce qui a trait à la religion, » écrivait par exemple Jules César en 50 avant notre ère, après avoir envahi la Gaule.
Quels sont les trois catégories de la société gauloise?
La société gauloise était divisée en trois catégories : le peuple, les guerriers et les druides. Les gens du peuple, artisans et paysans, étaient les plus nombreux. Ils avaient très peu de liberté.
Qui etait les gaulois cm1?
La Gaule est le nom donné par Jules César, empereur romain, à un territoire qui ressemble à celui de la France. Progressivement, les populations qui vivent en Gaule, c’est-à-dire les Celtes et les Grecs, se mélangent et deviennent les Gaulois, car ils vivent sur ce même territoire de la Gaule.
Quelle est la position des druides dans la religion?
Intermédiaires entre les dieux et les hommes, les druides s’assurèrent peu à peu une position dominante tels que le rapporteront plus tard les historiens romains. Gardiens de la religion, ils connaissaient l’emplacement des sources supposées magiques ou les secrets de la survivance de l’âme.
Quel est le rôle du druide dans la société?
Le rôle du druide dans la société [ modifier | modifier le code] Tenant leur assemblée générale annuelle dans la mythique forêt des Carnutes, près de l’actuelle ville de Chartres, selon César, les druides sont des acteurs de l’unité gauloise et considérés comme l’âme de la résistance à la présence romaine.
Comment s’occupent les druides?
Les druides « s’occupent des choses sacrées, ils dirigent les sacrifices publics et privés, et interprètent tout ce qui a trait à la religion, » écrivait par exemple Jules César en 50 avant notre ère, après avoir envahi la Gaule.
Est-ce que les druides étaient tenus de combattre?
En cas de guerre, les druides n’étaient pas tenus de combattre. L’utilisation des armes ne leur étaient pas interdites, mais les druides étaient souvent âgés et les précieuses connaissances qu’ils avaient acquises, les rendaient plus utiles à l’écart plutôt qu’au cœur des combats.