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Qui a lutté contre la Révolution?
Certains ont lutté ouvertement contre la Révolution, dans les « armées des princes » et dans les journaux ; d’autres plus discrètement, dans les réseaux d’espionnage ou dans une résistance quotidienne.
Quel est le rejet de la Révolution?
Le rejet de la Révolution n’a pas été moins fort de la part de nombreux Français « émigrés » de l’intérieur ou de l’étranger : nobles et membres du clergé, mais aussi toute une partie de la population qui a pris peur ou s’est sentie persécutée.
Quels sont les portraits de patriotes?
On trouve aussi deux maçons et deux journalistes, un arpenteur menuisier, un prêtre et un seigneur, Pierre-Amable Boucher de Boucherville. Cette centaine de portraits de patriotes ne serait qu’accessoire, si on peut dire, si elle n’était accompagnée de notices biographiques détaillées.
Quels sont les représentants de la bourgeoisie canadienne?
Cette situation mène à un mécontentement de la population francophone, qui se regroupe autour de représentants de la grande bourgeoisie canadienne-française et de notables: notaires, médecins, enseignants ou marchands. Le Parti Canadien, dirigé par Louis-Joseph Papineau, prétend ainsi répondre aux attentes de la population.
Quelle est l’apogée de la guerre froide?
De 1949 à 1953, l’apogée de la Guerre froide Depuis 1945, l’espoir né de la victoire des Alliés sur les nazis a peu à peu laissé place à une opposition entre le communisme et le libéralisme. Les deux principales puissances alliées s’opposent sur la politique à appliquer dans les territoires libérés.
Comment se manifestent les tensions de la guerre froide?
Les tensions de la guerre froide ne se manifestent pas uniquement sur le terrain international, elles se traduisent également par des troubles en terme de politique intérieure, en URSS et aux Etats-Unis. En URSS, Staline renforce depuis 1939 son pouvoir et le culte de la personnalité. L’idéologie se durcit.
Quelle est la réalité de la Révolution?
La réalité de la Révolution n’est ni toute blanche, ni toute noire : la fin de l’année 1794, par exemple, voit des révolutionnaires disqualifiés depuis quelques mois reprendre le pouvoir, envoyer les plus radicaux à la guillotine et nouer des contacts avec certains extrémistes comme avec des modérés, voire des royalistes.