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Quels sont les principaux défis du continent africain?
3Les défis du continent africain maîtriser la croissance urbaine (13 millions d’habitants à Lagos en 2014, contre 300 000 en 1950) et répondre au manque d’infrastructures : eau potable, électricité, réseau de transports, etc.
Quel défis L’Afrique Doit-elle relever?
Pour mieux résister au chômage de plus en plus fort, l’Afrique doit conjuguer croissance inclusive et intégration régionale. Une croissance tirée en premier lieu par l’Afrique de l’Est, la plus forte du continent, Djibouti, l’Éthiopie, le Rwanda et la Tanzanie enregistrant même des taux supérieurs à la moyenne.
Quels sont les effets de la mondialisation sur le continent africain?
Nouvelles technologies et Internet constituent la première courroie de transmission de la mondialisation et de l’intégration en Afrique. Ils facilitent la transmission de l’information, et les échanges d’idées à l’échelle planétaire. C’est l’aire du « travail sans frontière », disent les africains.
Est-ce que l’Afrique doit faire face à des défis environnementaux?
L’Afrique, bien que pionnière à travers l’Union Africaine dans la protection de l’environnement [2], doit maintenant faire face à de nouveaux défis environnementaux avec des problématiques ciblées et une action limitée face aux changements climatiques.
Quel est le rôle de l’État dans l’Afrique?
La Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (UNECA) a publié, en 2011, un document de synthèse intitulé Gérer le développement de l’Afrique : le rôle de l’État dans la transformation économique. 4 Le rôle de l’État est aussi essentiel pour assurer, dans un pays, l’égalité des territoires.
Quel est l’objectif pour l’Afrique?
Au regard de l’impact du changement climatique sur l’Afrique, l’objectif pour les pays africains consisterait à exploiter les vastes ressources énergétiques renouvelables du continent [17] .
Quels sont les objectifs du sommet africain de l’action?
Lors du sommet africain de l’action [7], les chefs d’Etats africains ont préconisé la mise en place d’un « fonds bleu pour le bassin du Congo » qui s’appuiera sur la mise en œuvre de micro-projets touchant aux domaines liés au développement durable tels que les projets hydro-électriques, le traitement des eaux, l’irrigation des terres cultivables.