Table des matières
Quels sont les philosophes qui ont parlé de la mort?
Mots-clés
- mort.
- Heidegger.
- Spinoza.
- Épicure.
- philosophie.
- Platon.
- stoïcisme.
- Schopenhauer.
Quelle leçon Pouvons-nous tirer de la vie et de la mort de Socrate?
L’humilité, une des leçons de vie de Socrate Ses traits étaient abrupts et ressortaient, en outre, ses grands yeux saillants et son nez extrêmement relevé. Son apparence physique était un motif de raillerie de la part d’autres philosophes . Cependant, rien de tout cela n’affecte le “père de la philosophie”.
Est-il raisonnable de craindre la mort?
Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n’est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n’est pas là et lorsque la mort est là, nous n’existons plus » (Lettre à Ménécée).
Quelle est la doctrine de Socrate?
La doctrine de Socrate est que la justice est la vertu principale de l’accomplissement personnel de l’homme. L’homme est composé d’une âme et d’un corps. Le corps a-t-il plus de valeur que l’âme ou l’âme a-t-elle plus de valeur que le corps? Pour Socrate, l’âme est supérieure au corps.
Pourquoi l’âme philosophique est préparée à la mort?
Et parce qu’il sait cela pendant sa vie, le philosophe a eu souci de son âme : il s’est préparé à la mort. La philosophie est un exercice de mort, comme le dit Socrate. Pendant sa vie terrestre déjà, l’âme philosophique parvient à la connaissance de l’intelligible, qui est la vraie réalité.
Est-ce que la mort serait propice à la mort?
Socrate décrit ces rencontres comme étant un privilège dans l’Apologie de Socrate : « […] si la mort est comme un passage d’ici-bas dans un autre lieu, et s’il est vrai, comme on le dit, que tous les morts y sont réunis, peut-on, juges, imaginer un plus grand bien? » Alors, la mort serait propice.
Est-ce que la mort est bénéfique?
D’abord, Socrate proclamait que si la mort est vraiment un sommeil interminable ou la conscience disparait complètement, la mort est bénéfique puisqu’on serait arrivé dans une circonstance où la mort se traduirait dans un sommeil perpétuel où l’on ne se souvient de rien.