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Quelles sont les origines de la guerre froide 1943-1948?
Dès 1943, de nombreux diplomates américains expriment leur crainte d’une maîtrise soviétique de l’Eurasie. De leur côté, les dirigeants soviétiques se méfient toujours de l’Occident capitaliste, en particulier du Royaume-Uni, dont les dirigeants affichent un antisoviétisme radical.
Quel sont les conséquence de la Seconde Guerre mondiale?
Le bilan de la Seconde Guerre mondiale est extrêmement lourd : pertes en vies humaines et potentiel économique partiellement détruit. Le nombre des seules victimes juives est estimé à près de six millions. La plus grande partie des Juifs d’Europe orientale a ainsi péri dans les camps de concentration nazis.
Que veut dire la guerre froide?
Alors que les deux blocs se constituent, chaque camp cherche les moyens de combattre l’autre sans toutefois déclencher une guerre ouverte. On parle alors de la guerre froide. La guerre froide est un conflit idéologique multiforme. Dans les deux camps, on retrouve une forte propagande à l’encontre de l’autre camp.
Est-ce que la guerre froide est due à la faute sur l’autre?
Longtemps, l’ historiographie de chaque camp renvoyait la faute sur l’autre : ainsi, pour les Occidentaux, la Guerre froide serait due au non respect des accords de Yalta. En effet, Staline n’a pas permis la tenue d’élections libres (au sens où l’entendent les Européens) dans les Etats libérés par l’Armée rouge.
Comment les révisionnistes ont contribué à la guerre froide?
Pour les révisionnistes, les USA ont largement contribué aux lancement de la guerre froide en considérant dès la fin de la guerre que l’URSS était le nouvel ennemie. L’arrêt brutal du programme “Lend-Lease” en faveur de l’union soviétique dès l’arrêt des hostilités contre le Japon en 1945 aurait été un signe de l’hostilité américaine.
Quelle est l’apogée de la guerre froide?
De 1949 à 1953, l’apogée de la Guerre froide Depuis 1945, l’espoir né de la victoire des Alliés sur les nazis a peu à peu laissé place à une opposition entre le communisme et le libéralisme. Les deux principales puissances alliées s’opposent sur la politique à appliquer dans les territoires libérés.