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Quel traitement pour un carcinome canalaire in situ?
Le traitement d’un carcinome canalaire in situ (« CCIS ») repose principalement sur un « traitement locorégional » c’est-à-dire, soit une chirurgie mammaire conservatrice (« tumorectomie ») suivie d’une radiothérapie, soit une chirurgie non conservatrice du sein (« mastectomie »).
Quel traitement pour un carcinome lobulaire infiltrant?
Typiquement, l’hormonothérapie est une arme thérapeutique incontournable, les tumeurs lobulaires étant généralement plus sensibles aux hormones que les carcinomes canalaires. La chimiothérapie, en revanche, peut offrir des résultats parfois décevants.
Qu’est-ce qu’un carcinome canalaire in situ?
Carcinome canalaire in situ (CCIS) C’est le type le plus courant de cancer du sein non infiltrant. Les cellules cancéreuses ne sont présentes que dans le revêtement du canal mammaire. Elles ne se sont pas propagées hors du canal jusqu’aux tissus mammaires voisins ou à d’autres organes.
Qu’est-ce qu’un cancer in situ?
Le carcinome canalaire in situ ou CCIS (DCIS en anglais) est la prolifération de cellules cancéreuses à l’intérieur d’un canal galactophore sans que les cellules ne dépassent la paroi du canal pour envahir le reste du sein.
Qu’est-ce qu’un carcinome lobulaire?
Carcinome lobulaire in situ (CLIS) Le CLIS est une accumulation de cellules anormales dans les lobules. Ces cellules ne se propagent pas hors des lobules jusque dans le tissu mammaire voisin. Le CLIS apparaît souvent dans bien des parties différentes du sein en même temps.
C’est quoi un cancer infiltrant?
Le carcinome canalaire infiltrant (CCI) est le type de cancer le plus commun. Il représente 76 \% des cancers infiltrants. Le cancer provient des canaux mais a envahi le sein environnant. Il peut se présenter comme une masse palpable ou être trouvé lors d’une mammographie de dépistage.
Qu’est-ce qu’un carcinome basocellulaire nodulaire?
Le carcinome basocellulaire nodulaire est le plus fréquemment représenté. Il est défini cliniquement par un groupement de papules perlées et de télangiectasies, généralement sur un territoire bien délimité, avec la présence facultative d’une ulcération.