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Quel médicament pour dégoûter de lalcool?
Depuis septembre 2014, les médecins peuvent prescrire un nouveau médicament pour réduire l’envie de boire : il s’agit du Selincro®. Le Selincro® est composé d’une molécule appelée nalméfène. Celle-ci agit directement sur les zones du cerveau responsables de la forte envie de boire.
Comment aider une personne alcoolique qui ne veut pas d’aide?
Ce que vous pouvez faire
- Renseignez-vous sur la maladie mentale, l’alcoolisme et la toxicomanie.
- Parlez à la personne de vos inquiétudes et encou-ragez-la à demander de l’aide.
- Trouvez du soutien pour vous-même et le reste de votre famille.
- Prenez soin de vous.
- Prenez soin des autres membres de votre famille.
Comment aider un alcoolique qui ne veut pas s’en sortir?
Pour aider cette personne, proposer lui d’autres manières de prendre soin d’elle. Il peut s’agir d’un moment de détente (massage, yoga), de plaisir gustatif (un plat qu’il/elle affectionne), d’une balade dans la nature : tout ce qui peut lui faire du bien sans avoir recours à l’alcool.
Comment soigner l’alcoolisme?
L’alcoolisme est une maladie à part entière. Bien heureusement, celle-ci peut être soignée grâce à plusieurs traitements de l’alcoolisme. Pour maximiser ses chances de guérison, le mieux est de combiner plusieurs méthodes adaptées à son profil et à sa dépendance.
Est-ce que l’alcool est nocif pour la santé?
En 2012, l’usage nocif de l’alcool a été à l’origine de 3,3 millions de décès dans le monde, selon un récent rapport présenté par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) 1.
Quel est le taux d’abstinence pour les alcoolodépendants?
Pour les alcoolodépendants très sévères : une dose de 1,75 gramme permet d’établir un taux d’abstinence de 81 \% sur les trois mois de l’étude contre 57 \% pour le placebo. Sur le dernier mois, le pourcentage de jours abstinents est de 69 \% pour les patients traités versus 31 \% pour le placebo ;
Quel est le traitement de l’alcoolodépendance?
Dans tous les cas, le traitement de l’alcoolodépendance est plus efficace s’il est associé à un suivi psycho-social (psychothérapie, groupes de paroles…), une aide importante dans cette pathologie multifactorielle.