Table des matières
Quel est le projet de Jean-jacques Rousseau dans les Confessions?
Dans les premières lignes, Rousseau nous présente ainsi un projet autobiographique unique, teinté d’un certain orgueil. En effet les marques de la première personne sont omniprésentes et présentent l’auteur comme un individu singulier : « cet homme, ce sera moi. Moi seul ».
Comment Rousseau a t il théorise le genre autobiographique?
Associant sincérité, humilité et plaidoyer pour lui-même, Rousseau cherche à brosser un portrait positif de lui-même et se présente essentiellement comme une victime de la vie. L’œuvre des Confessions fonde néanmoins le genre moderne de l’autobiographie et constitue un texte marquant de la littérature française.
Pourquoi Rousseau Raconte-t-il cette anecdote de son enfance?
Cette nouvelle anecdote de l’enfance de Jean-Jacques Rousseau l’a marqué moralement. C’était une punition avec une insistance signifiante sur cet acte. Cette anecdote est un support de réflexion que Rousseau utilise pour nous faire réfléchir. Il remontre jusqu’aux premières traces de l’être sensible.
Quelle fonction l’autobiographie Semble-t-elle remplir pour Rousseau?
En écrivant son autobiographie, Rousseau cherche à faire réfléchir son lecteur à propos d’une société qu’il accuse de corrompre l’individu. Selon lui, plus l’homme vit en société, plus l’homme renonce à sa liberté.
Quelle est la date de publication des confessions?
La publication des Confessions est entièrement posthume. Rousseau est décédé en 1778, or la première partie de cette œuvre fut publiée en 1782, et la deuxième en 1789. Cela dit, Rousseau avait achevé son œuvre en 1771 et entrepris des lectures publiques de quelques extraits pour en faire la publicité.
Quel intérêt pour la lecture des confessions?
C’est même un intérêt majeur de la lecture des Confessions : la découverte des multiples facettes de sa personnalités ; ce personnage dont les bizarreries et les folies semblent surprenantes reste singulièrement proche de son lecteur.
Est-ce que l’écrivain est persuadé que tout le monde en veut?
Victime d’une sorte de paranoïa, l’écrivain est persuadé que tout le monde lui en veut. Et il est vrai qu’il peut avoir quelques raisons de le penser.