Quel est le poids de la dette publique?
Le poids de la dette publique est revenu au centre des préoccupations des hommes politiques et des citoyens, à l’issue notamment de la publication du rapport Pébereau le 14 décembre 2005. La charge de la dette (2,5\% du PIB en 2005) serait le deuxième poste de dépenses de l’Etat et absorberait la quasi-totalité des recettes de l’impôt sur le revenu.
Comment réduire le poids de la dette?
Seule une augmentation des recettes fiscales peut en effet permettre de réduire le poids de la dette tout en maintenant un service public de qualité et en soutenant l’économie par les dépenses publiques.
Quel est le poids de l’endettement public?
Le principal indicateur du poids de l’endettement public est la dette publique au sens de Maastricht, soit la dette brute consolidée de l’ensemble des administrations publiques (Etat, collectivités locales, Sécurité sociale). La dette française était relativement faible jusqu’en 1980 (graphique 1) : de 16\% du PIB en 1974, elle reste à 20\% en 1980.
Pourquoi réduire l’endettement public?
De notre point de vue, s’il est crucial de réduire l’endettement public, c’est en raison de ses effets redistributifs des pauvres vers les riches.
Quand apparaît la dette fédérale du Canada?
La dette fédérale du Canada apparaît avec la création de la confédération canadienne en 1867. Le gouvernement fédéral assume alors la dette des gouvernements provinciaux en échange de leurs sources de revenue.
Comment est calculée la dette publique du Canada?
En conséquence la dette publique du Canada est calculée en agrégeant les dettes des collectivités publiques de tous les échelons, de la fédération jusqu’aux municipalités en passant par les provinces. Cette dette publique nette selon la nouvelle définition de 2002, est passée de 800 milliards en 2001 à 791 milliards en 2005.
Quelle est la charge de la dette française?
La charge de la dette (2,5\% du PIB en 2005) serait le deuxième poste de dépenses de l’Etat et absorberait la quasi-totalité des recettes de l’impôt sur le revenu. Selon un discours largement répandu, la France vivrait à crédit depuis trente ans : les générations actuelles reporteraient la charge des dépenses publiques sur les générations futures.