Puis-je disposer librement de mon corps?

Puis-je disposer librement de mon corps?

Toute personne a droit de disposer de son corps. Cela doit permettre de protéger les intérêts matériels et moraux de son corps. L’individu a donc un pouvoir sur son corps et peut décider, dans la plupart des cas, de sa propre mort.

Quels sont les aspects liés à la libre disposition du corps humain?

La libre disposition de soi renvoie aux libertés fondamentales s’attachant à la sauvegarde de la personne : le droit de disposer de son corps et le droit à l’intégrité physique. Elles constituent les deux faces d’une seule et même liberté physique, dont le respect conditionne l’existence de toutes les autres libertés.

Quel est le droit de disposer de son corps?

Celui de mettre au monde des enfants désirés. À force de combats, les femmes peuvent aujourd’hui en France accéder gratuitement et anonymement, même mineures, à la contraception et à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Avoir « le droit de disposer de son corps »?

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Quel est le droit des femmes à disposer librement de leur corps?

Un objet n’a ni droits, ni intégrité, ni dignité. Le droit des femmes à disposer librement de leur corps doit leur éviter d’avoir à se transformer en objet, mettant au monde les enfants de leurs maîtres. Ce droit doit leur garantir, en revanche, le respect de leur dignité humaine.

Pourquoi les enfants ne sont pas la propriété de leurs parents?

Les enfants ne sont pas la propriété de leurs parents, pas plus qu’ils ne sont des bénéficiaires passifs de notre charité. Ce sont des êtres humains et leurs droits leur appartiennent en propre. La Convention relative aux droits de l’enfant énonce les droits qui doivent être respectés pour que les enfants puissent développer tout leur potentiel.

Quels droits ont les enfants et les jeunes?

Les enfants et les jeunes ont les mêmes droits fondamentaux que les adultes, mais en reconnaissance de leurs besoins spéciaux, ils ont aussi des droits spécifiques. Les enfants ne sont pas la propriété de leurs parents, pas plus qu’ils ne sont des bénéficiaires passifs de notre charité.

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