Pourquoi les sociétés ont été mobilisées pour la guerre?
Les sociétés ont été totalement mobilisées pour l’effort de guerre. Les batailles ont été particulièrement meurtrières à cause notamment de l’usage de l’artillerie. Les soldats ont combattu dans des tranchées la plus grande partie de la guerre dans des conditions très pénibles.
Quel est le nombre de réfugiés entre les deux camps?
Le nombre de morts est estimé à 20 000 pour les deux camps et il y a eu des réfugiés de chaque côté, les Croates principalement au début de la guerre et les Serbes vers la fin. Depuis lors, la Serbie et la Croatie se sont réconciliées en partie,, mais les blessures de la guerre persistent.
Quelle est la durée de la violence des combats?
Intensité de la violence des combats. Nombre de victimes (chiffres arrondis) Moyenne des tués par jour Durée (en jours) Première guerre mondiale 8 000 000 6 837 1 170 Guerres de Napoléon (soldats français) 700 000 148 4 745 Bataille de la Somme 1 000 000 7 141 140 Bataille de Verdun 220 000 733 300 2.
Quelle est la date de la guerre de Croatie?
La guerre de Croatie, ou guerre d’indépendance croate, s’est déroulée entre le 17 août 1990 et le 12 novembre 1995, à l’issue de l’effondrement de la fédération yougoslave. Elle a opposé la République de Croatie nouvellement indépendante à l’Armée populaire yougoslave (JNA) et à une partie des Serbes de Croatie.
Quels étaient les termes utilisés dans la guerre?
Au début de la guerre, les termes d’« obusite » (ou « shell shock » chez les médecins britanniques), ou encore d’« hypnose des batailles », qui étaient utilisés pour qualifier les soldats qui en étaient atteints, en furent le reflet.
Comment s’est développée la psychiatrie de guerre?
Avec l’évolution du diagnostic s’est développée une psychiatrie de guerre qui proposait ses premiers traitements : l’hypnose, les sédatifs et la narco-analyse, la psychothérapie par la suggestion ou la persuasion, ou encore le conditionnement aversif.
Est-ce que les expériences de guerre seront partagées avec les petits-enfants?
Ce n’est que plus tard que les expériences de guerre seront parfois partagées, plutôt avec les petits-enfants, et encore, il convient de s’interroger sur la manière dont le récit a été transmis ainsi que sur la façon dont l’imaginaire s’est réapproprié celui-ci.