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Pourquoi la sécrétion de GnRH est pulsatile?
La sécrétion pulsatile de GnRH est une propriété intrinsèque des neurones sécréteurs. Elle a été démontrée sur une culture de cellules in vitro (fréquence de 30 à 50 minutes suivant les espèces), corrélée avec la fréquence in vivo chez des animaux castrés (mouton, macaque).
Quel est le rôle de l’hormone GnRH?
La GnRH est un peptide qui contrôle la sécrétion des gonadotrophines de l’adénohypophyse (ou antéhypophyse) : l’hormone folliculostimulante ou FSH, l’hormone lutéinisante ou LH.
Quelles sont les cellules cibles de la GnRH?
La GnRH est véhiculée par le système sanguin jusqu’à l’hypophyse. Au niveau de l’hypophyse antérieure : Les cellules sécrétrices de FSH et LH sont les cellules cibles de la GnRH, celle- ci les stimule → ⬈ production de FSH et LH qui sont libérée dans la circulation générale.
Comment fonctionne l’hypophyse chez les femmes?
Par exemple, chez les femmes, l’hormone lutéinisante et l’hormone folliculostimulante qui contrôlent les fonctions reproductrices varient pendant le cycle menstruel. L’hypophyse, une glande de la dimension d’un pois située à la base du cerveau, produit plusieurs hormones.
Quels sont les troubles de la production d’hormones hypophysaires?
La surproduction d’hormones hypophysaires provoque des troubles, notamment : Galactorrhée (sécrétion de lait par les seins d’un homme ou d’une femme en l’absence de grossesse) : Prolactine Les troubles provoqués par une production insuffisante d’hormones hypophysaires incluent les suivants :
Quelle est la fonction de l’hypophyse?
Par la nature de ses sécrétions hormonales, l’hypophyse joue un rôle essentiel dans le métabolisme, la croissance et la reproduction. Elle est étroitement liée à l’ hypothalamus. La GH, hormone de croissance qui stimule les tissus, le métabolisme énergétique et assure une croissance harmonieuse.
Est-ce que la GnRH est perturbée?
En physiopathologie, l’activité de la GnRH peut être perturbée dans le cas de maladie de l’axe hypothalamo-hypophysaire-gonade (traumatisme, tumeurs…). Il existe également une pathologie héréditaire qui aboutit à l’absence de sécrétion de GnRH, le syndrome de Kallmann, caractérisé par une absence de développement pubertaire.