Pourquoi Faut-il que nous essuyons toujours les platres?

Pourquoi Faut-il que nous essuyons toujours les plâtres?

Faux. Il faut écrire : Pourquoi faut-il que nous essuyions toujours les plâtres? Si l’on remplace « essuyer » par « faire », cela donne : « Pourquoi faut-il que nous fassions…? » C’est donc le subjonctif qui est ici de rigueur, et le « y » doit être suivi d’un « i ».

Quelle qu’en soit la cause?

Il faut écrire : Quelle que soit la raison de son retard, nous ne pouvons l’accepter. Le terme qui fait problème est, dans notre phrase, suivi d’un verbe (« soit »). C’est là le signe qu’il doit s’écrire en deux mots. Le mot qui suit est en effet un verbe (« soit »).

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Est-ce normal que nous n’ayons?

Il faut écrire : Il est contrarié que nous ne lui en ayons pas parlé. On n’écrit pas « que nous ayions », mais « que nous ayons », sans « i ». Phrase correcte.

Pourquoi malgré que n’est pas français?

Pourtant, c’est faux : « malgré que » n’est pas correct. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est l’académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu’on utilise avec « que » mais « malgré » n’est jamais suivi par « que ».

Quelle qu’en soit ou quelle que soit?

Ainsi, on écrit quelle que soit devant un nom féminin singulier, quels que soient devant un nom masculin pluriel et quelles que soient si le nom qui suit est féminin pluriel. Exemples : quelle que soit la situation , quels que soient tes choix , quelles que soient les difficultés .

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Quelle qu’en soit la?

quel que soit. « Quel qu’il soit » est une locution qui s’emploie lorsque l’on parle d’une personne ou d’une chose que l’on ne connaît pas ou dont on a une connaissance partielle. C’est aussi la marque de son indifférence quant à cette personne ou cette chose.

Pourquoi on dit pas malgré que?

« Malgré que » n’est pas, en tout cas dans la langue soignée, directement suivi d’un verbe au subjonctif. Il y a un seul cas où « malgré que » peut être directement suivi d’un verbe au subjonctif : dans l’expression vieillie « malgré que j’en aie », « malgré qu’il en ait », qui signifie « malgré moi », « malgré lui ».