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Pourquoi faire une sociologie des religion?
La sociologie des religions est non seulement une discipline qui est reconnue aujourd’hui comme un domaine spécifique et important de la sociologie, mais aussi une matière qui suscite de plus en plus de recherches et d’enquêtes variées dès lors qu’il s’agit d’expliquer et de comprendre le fait religieux rapporté à son …
Le discours réflexif de la théorie sociale consiste en la clarification du rapport qu’elle entretient non pas seulement avec les différentes sciences sociales mais aussi avec le contexte social qu’elle cherche non pas seulement à expliquer, comprendre et interpréter, mais aussi à évaluer ou transformer.
Comment Durkheim definit il la religion?
La religion, dit Durkheim, est une « discipline collective », « une école de désintéressement et d’abnégation » (1886 a, 196, 307). Elle a donc davantage à voir avec la manière dont la société se réglemente, elle-même et ses membres, qu’avec celle dont les individus sont attachés à la société.
Quelle est la spécificité de la sociologie?
• La spécificité de la sociologie est de tenter d’expliquer et de comprendre ce que les sociologues appellent les « faits sociaux ». Cette expression désigne, selon le fondateur de la sociologie française Émile Durkheim (1858-1917) :
Quel est l’objectif de la sociologie?
• Un autre objectif majeur de la sociologie est de comprendre ce qui construit le lien social, le fait que les êtres humains acceptent de vivre ensemble et de coopérer. La question est d’autant plus complexe que nous vivons aujourd’hui dans des sociétés où prédomine l’individualisme.
Quel est le renouvellement de la sociologie de l’engagement?
1. Un renouvellement salutaire de la sociologie de l’engagement militant 1.1. L’avènement du paradigme interactionniste 1.2. Des « rétributions » revisitées 1.3. Carrières militantes : l’engagement comme processus 1.4. Des nouvelles manières de militer aux nouveaux militants 2. Les défis de la recherche en sociologie de l’engagement 2.1.
Quelle est la conception des croyances collectives?
Il en résulte une conception des croyances collectives comme étant essentiellement des décisions de la part d’un groupe de tenir pour vrai ou de postuler que X est le cas, sans pour autant ressentir le caractère véridique de X (Cohen, 1992 ; Engel, 1998).