Pourquoi beaucoup de Cubains emigrent aux USA?

Pourquoi beaucoup de Cubains émigrent aux USA?

L’exode de Mariel a lieu, en pleine guerre froide, entre le 5 avril et le 31 octobre 1980. Le régime de Fidel Castro expulse près de 125 000 Cubains qui sont considérés comme contrerévolutionnaires. Ils embarquent au port de Mariel, à environ 40 kilomètres à l’ouest de La Havane, en direction des côtes de Floride.

Pourquoi quitter Cuba?

Les Cubains qui veulent quitter l’île craignent que dans un avenir proche le traitement préférentiel à l’égard des Cubains ne disparaisse. C’est pour cette raison que quelques milliers de Cubains se sont hâtés de vouloir entrer aux États-Unis.

Pourquoi les gens partent de Cuba?

Washington souligne que ce phénomène migratoire perdure à ce jour : « Depuis des décennies, les Cubains ont fui Cuba, souvent par bateau, à la recherche de la liberté aux États-Unis2 ».

Quel est le rôle des communautés de Latinos dans la société américaine?

Ces larges populations, aux origines et aux développements variés, font l’objet de politiques sociales diverses, ce qui permet à la présente étude d’explorer, dans une optique comparative, le rôle des interactions entre les communautés de Latinos sur l’assimilation des immigrés latinos dans la société américaine.

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Quels sont les migrants venus d’Amérique centrale?

Plus d’un millier de migrants venus d’Amérique centrale continuent leur chemin vers les États-Unis. Ils ont récemment passé la frontière qui sépare le Mexique du Guatemala au niveau du poste-frontière d’Hidalgo, dans le Chiapas.

Quels sont les facteurs principaux de cette migration?

L’extrême pauvreté de la région et l’impunité face aux violences apparaissent comme des facteurs primordiaux de cette migration. Pourtant, chaque migrant a une histoire unique.

Est-ce que l’Etat-Nation dispose du pouvoir d’écrire une politique de l’immigration?

Si l’Etat-nation dispose toujours du pouvoir d’écrire le texte d’une politique de l’immigration, ses différentes obligations internationales font que sa politique de l’immigration, au sens conventionnel de cette expression, n’affecte qu’à la marge les réalités migratoires.