Ou et pourquoi les mutilations sexuelles feminines MSF?

Où et pourquoi les mutilations sexuelles féminines MSF?

Il s’agit d’une tradition très ancienne et les communautés qui pratiquent les MSF invo- quent un ensemble de raisons socio culturel- les pour en justifier la poursuite. Elles sont pratiquées essentiellement en Afrique (dans 28 pays), mais également dans certaines parties de l’Asie et du Moyen Orient.

C’est quoi l’excision des femmes?

L’excision est une mutilation génitale. Elle consiste en une ablation rituelle du clitoris, et parfois des petites lèvres, pratiquée chez certains peuples sur les petites filles et jeunes femmes.

Quelles sont les formes de mutilation?

Typologie complète et subdivisions:

  • Type I — Ablation partielle ou totale du clitoris et/ou du prépuce (clitoridectomie).
  • Type II — Ablation partielle ou totale du clitoris et des petites lèvres, avec ou sans excision des grandes lèvres (excision).
LIRE AUSSI :   Quelles forces coloniales rejoignent les rangs de la resistance?

Comment se déroule une excision?

L’OMS distingue quatre types d’excision: Type I (clitoridectomie): ablation partielle ou totale du clitoris externe et/ou du capuchon du clitoris. Type II (excision): ablation partielle ou totale du clitoris externe et des petites lèvres avec/sans ablation des grandes lèvres.

Qui est à l’origine de l’excision?

Les origines de la pratique ne sont pas claires mais celle-ci serait apparue avant le Christianisme et l’Islam. Certaines recherches lui trouvent une origine en Nubie, dans la Corne de l’Afrique, dans les régions qui correspondent aujourd’hui à l’Egypte et au Soudan.

Quelles sont les conséquences de la mutilation génitale féminine?

Cependant, toutes les formes de mutilations sexuelles féminines sont associées à un risque accru pour la santé. Les complications immédiates peuvent être douleur violente, choc, hémorragie, tétanos ou septicémie (infection bactérienne), rétention d’urine, ulcération génitale et lésion des tissus génitaux adjacents.

C’est quoi une mutilation génitale?

Cette expression désigne plusieurs procédés consistant à faire l’ablation de certaines parties de l’appareil génital féminin et à mutiler les organes sexuels des jeunes femmes de façon permanente sans aucune raison médicale.

LIRE AUSSI :   Quels sont les criteres de choix du statut juridique?

Quel sont les conséquence de l’excision?

Parmi celles-ci on distingue les conséquences immédiates (hémorragie, infection, traumatisme psychologique, décès) des conséquences à moyen et long termes (douleurs, troubles de la sexualité, infections à répétition et complications lors de l’accouchement).

Est-ce que cette plateforme est intégrée à la police nationale?

Cette plateforme est intégrée à l’Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l’Information et de la Communication. Ce service appartient à la Direction Centrale de la Police Judiciaire, composante de la Police nationale. Comment les signalements sont-ils traités?

Comment vous identifier avec le formulaire de signalement?

Vous avez la possibilité de vous identifier en remplissant les mentions du formulaire de signalement relatives à votre identité. Ce n’est pas obligatoire. Les signalements sont traités de la même manière, que vous restiez anonyme ou non. Le formulaire enregistre les numéros « IP » (internet protocol) des émetteurs des signalements.

Comment déposer une plainte à la gendarmerie?

LIRE AUSSI :   Pourquoi la truffe de mon chien se decolore?

Une fois au commissariat de police ou à la gendarmerie, les victimes peuvent déposer formellement plainte, faire une déclaration de type main courante ou bien renoncer à faire un signalement.

Comment alerter la police ou la gendarmerie en cas d’urgence?

La sélection d’une langue déclenchera automatiquement la traduction du contenu de la page. Comment alerter la police ou la gendarmerie en cas d’urgence? En cas d’urgence, et uniquement dans cette situation, il est possible d’alerter la police ou la gendarmerie par appel téléphonique, ou par SMS, si vous êtes dans l’incapacité de parler.