Comment les moustiques resistent aux insecticides?

Comment les moustiques résistent aux insecticides?

La résistance aux insecticides est principalement due à des mutations génétiques ciblées et à des mécanismes de détoxification chez les moustiques.

Quelle est l’origine de la résistance aux insecticides?

Les insecticides utilisés sont essentiellement des organophosphorés comme le chlorpyrifos. Dès 1972, on a relevé l’apparition de résistances. Des souches de Moustiques ont alors été prélévées du milieu naturel pour étudier l’origine de cette résistance et le rôle de l’épandage d’insecticide.

Quels sont les mécanismes de résistance des moustiques?

Certains mécanismes de résistance sont, aujourd’hui encore, mal compris. Par exemple, les facteurs génétiques de la résistance métabolique des moustiques, liée à la dégradation des insecticides par l’intermédiaire d’ enzymes de détoxication, restent encore méconnus.

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Comment combattre les moustiques sur le terrain?

Une avancée qui pourrait permettre de mieux combattre les moustiques sur le terrain. Pour réaliser cette étude, les chercheurs ont ciblé, par bio-informatique, plus de 760 gènes potentiellement impliqués dans la résistance aux insecticides du moustique Aedes aegypti, vecteur de la dengue et du chikungunya dans les zones tropicales.

Quelle est la capacité des moustiques à résister à ces produits?

Mais la capacité des moustiques à résister à ces produits les rend inefficaces et représente donc une menace sérieuse pour l’homme. Or certains mécanismes de résistance restent méconnus des scientifiques, notamment les facteurs génétiques permettant au moustique de synthétiser des enzymes de détoxication afin de dégrader des insecticides.

Quels sont les mécanismes de résistance des insecticides?

Or certains mécanismes de résistance restent méconnus des scientifiques, notamment les facteurs génétiques permettant au moustique de synthétiser des enzymes de détoxication afin de dégrader des insecticides. Un pas vers la compréhension de ce mécanisme a été franchi par des chercheurs du CNRS, en collaboration avec l’Institut Pasteur de la Guyane.

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