Comment interviewer un médecin?
Interview : Médecin généraliste
- Quel a été votre cursus scolaire, pour devenir médecin?
- Comment se sont déroulées vos études?
- En quoi consiste le travail du médecin?
- Pourquoi avoir choisi cette profession?
- Pour vous, quelles sont les qualités requises pour exercer?
Quels sont les qualités requises pour être médecin?
Les qualités d’un bon médecin sont sa patience, son professionnalisme, sa capacité à détecter les problèmes et son sens de l’humain. Le médecin dispose évidemment de nombreuses connaissances médicales, sa formation lui a donné toutes les clés pour diagnostiquer et soigner un patient.
Quel est le métier de médecin?
Professionnel central du monde de la santé, le médecin examine et établit un diagnostic, ordonne des examens et prescrit le traitement pharmaceutique ou hospitalier qui s’impose. Le médecin suit ses malades et gère leur santé dans sa globalité.
Comment savoir si c’est un bon médecin?
On dit que le médecin est bon lorsqu’il répond positivement à certains critères. Il doit non seulement être parfaitement à l’écoute des problèmes médicaux du patient et non pas, l’écouter brièvement et le renvoyer chez lui. Mais surtout, il doit lui proposer une solution qui convient bien à sa problématique.
Pourquoi un livre sur les bonnes questions à poser à son médecin?
Les auteurs**, qui dénoncent une bureaucratisation de la santé depuis les plans Cancer, invitent le malade à redevenir sujet et non plus seulement « objet de soins ». Et prônent le rééquilibrage du dialogue entre le médecin et son patient. Paris Match. Pourquoi un livre sur les bonnes questions à poser à son médecin?
Quelle est l’autorité du médecin pour le malade?
Il y a aussi l’autorité du médecin qui fait que le malade peut se sentir en état d’infériorité. Souvent, il n’ose pas poser de question sur le traitement qui a été décidé. Le vrai drame, aujourd’hui, c’est que les médecins sont soumis à une automatisation de la prise des décisions.
Pourquoi il n’ose pas poser de question sur le traitement?
Souvent, il n’ose pas poser de question sur le traitement qui a été décidé. Le vrai drame, aujourd’hui, c’est que les médecins sont soumis à une automatisation de la prise des décisions.