Table des matières
Comment fonctionne les compagnons du devoir?
Les Compagnons du Devoir vous proposent de suivre une formation en alternance à l’un de leurs 30 métiers afin d’acquérir un véritable savoir-faire. Le rythme habituel de l’alternance est de 6 semaines en entreprise et de 2 semaines en centre de formation. Cela permet de suivre un projet de A à Z en entreprise.
Comment faire partie des compagnons du devoir?
Pour devenir Compagnon du Devoir, il faut préalablement devenir « affilié » ou « aspirant », en réalisant un travail d’adoption (en tant qu’apprenti ou itinérant) qui est ensuite examiné par la corporation du métier et la communauté (aspirants et compagnons).
Qui finance les compagnons du devoir?
Nos financements Les subventions accordées par les régions et l’Etat au titre de la formation par l’apprentissage.
Comment devient ton Compagnon?
Rejoindre les Compagnons de l’Union Compagnonnique dans le cadre de l’apprentissage et du Tour de France. L’Union Compagnonnique accueille les jeunes, garçons et filles, à partir de 16 ans, en cours de formation ou ayant un C.A.P. Il vous suivra tout au long de votre parcours compagnonnique.
Quel est le but du compagnonnage?
Le compagnonnage a pour double but de former des hommes en même temps que des professionnels qualifiés. Il permet à chaque individu l’accomplissement de ses possibilités culturelles et professionnelles, grâce à l’exercice de son métier et à la transmission des savoirs. Le compagnonnage est un outil de promotion sociale, de formation et d’éducation.
Quel est le principe du compagnonnage?
Autour du métier et de son apprentissage, il s’agit pour le jeune itinérant de se construire au mieux de ses capacités, pour devenir un bon professionnel et un acteur de la cité, sûr de sa valeur et de ses valeurs. Le Compagnonnage, dans son principe, est présent en France et en Europe depuis 8 siècles au moins.
Quels sont les vrais compagnons?
Les vrais Compagnons, ceux qui ont foi dans les vertus transmises depuis des siècles par leurs Anciens, ils sont de plus en plus écoeurés et depuis des années, ils font comme moi et quittent l’AOCDTF, les uns discrètement, les autres moins.