Quels sont les grands principes de la theorie de la guerre de Clausewitz?

Quels sont les grands principes de la théorie de la guerre de Clausewitz?

D’après Clausewitz, « la guerre est un acte de violence et il n’y a pas de limite à la manifestation de cette violence » : il faut alors frapper le plus fort possible pour obtenir l’anéantissement des forces de l’ennemi : tendre cers ce qu’il nomme « la guerre absolue ».

Comment l’analyse de la guerre populaire selon Clausewitz correspond à certains modes de guerre contemporains?

Pour Clausewitz, la guerre populaire est exclusivement une guerre de libération nationale. Les mouvements de protestation du peuple à l’encontre de leurs gouvernants débouchant sur des insurrections sont considérés comme des guerres civiles.

LIRE AUSSI :   Quel est le dessert de Noel servi au UK?

Quelle est l’ambition de Clausewitz?

L’ambition de Clausewitz qui ouvre De la guerre est la volonté d’analyser le phénomène guerre. « Nous nous proposons d’examiner d’abord la guerre dans chacun de ses éléments, puis dans chacune de ses parties et enfin dans son entier, c’est-à-dire dans la connexion que ces parties ont entre elles » (p. 27).

Quelle est l’image de Clausewitz aujourd’hui?

L’image de Clausewitz est aujourd’hui ambivalente. Considéré, à l’égal d’un Thucydide, comme la plus grande référence de l’histoire de la pensée stratégique, il est aussi un auteur contesté, parfois envisagé comme celui qui ouvre la porte aux guerres totales du XXe siècle.

Est-ce que Clausewitz est l’auteur de la pensée stratégique?

Considéré, à l’égal d’un Thucydide, comme la plus grande référence de l’histoire de la pensée stratégique, il est aussi un auteur contesté, parfois envisagé comme celui qui ouvre la porte aux guerres totales du XXe siècle. Clausewitz est né en 1780 à Burg, dans une famille typique de petits fonctionnaires.

LIRE AUSSI :   Comment soigner sa permanente?

Quelle est la définition de la guerre?

« La guerre est donc un acte de force par lequel nous cherchons à contraindre l’adversaire à se soumettre à notre volonté » (p. 27). Il y a loin de cette définition à la formule. Suivons le raisonnement du maître. L’usage de la force — et de la violence — est indissociable de la guerre.