Quel est le paradoxe du relativisme culturel?

Quel est le paradoxe du relativisme culturel?

L’ethnocentrisme, ou le paradoxe du relativisme culturel. Dans les deux cas, on refuse d’admettre le fait même de la diversité culturelle; on préfère rejeter hors de la culture, dans la nature, tout ce qui ne se conforme pas à la norme sous laquelle on vit.

Qui défend le relativisme culturel?

Le relativisme culturel est une très vieille notion dont il faut probablement attribuer la paternité à Hérodote qui a consacré toute son Enquête à mettre en regard les coutumes des Grecs avec celles des Égyptiens et des Sémites du Moyen-Orient.

Qu’est-ce que l’ethnocentrisme?

L’ethnocentrisme, par contre, est l’extrême opposé du relativisme culturel. L’adepte de cette philosophie ne doit pas seulement considérer sa culture comme la plus suprême, mais cette personne jugera les autres cultures en les comparant à sa propre culture.

Comment aborder l’Occident avec les autres civilisations?

Il en vient donc à aborder la question générale des rapports de l’Occident avec les autres civilisations, ainsi que les notions de progrès, de dialogue des cultures, de relativisme culturel et, bien entendu, de race et de racisme.

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Est-ce que toute culture s’oppose à ce qui n’est pas elle?

Le second fait notable consiste en ceci que toute culture ne se pose qu’en s’opposant à ce qui n’est pas elle, par le biais “des rapports directs ou indirects entre les sociétés” ( les échanges en tous genres, tels le commerce, les alliances ou la guerre).

Quelle est la concomitance entre nature et culture?

Certes, la culture constitue, par essence, un processus d’arrachement à la nature, au moyen de puissants et ingénieux artefacts ; de sorte que l’opposition entre la nature et la culture reste pertinente. On peut toutefois aisément dépasser ce paradoxe – plus apparent que réel – en s’avisant de la concomitance de deux faits essentiels.