Comment surmonter la maladie de son enfant?

Comment surmonter la maladie de son enfant?

Lorsqu’on doit faire face à la maladie d’un enfant, il est normal de ressentir parfois de la colère, du chagrin, de la peur, un sentiment d’injustice ou de ras-le-bol. Ne cherchez à pas nier ou à dissimuler ces émotions. Acceptez-les et partagez-les avec votre conjoint, les membres de votre famille ou vos amis proches.

Comment parler de sa maladie à son enfant?

Utilisez donc des mots simples pour lui annoncer sa maladie. Par exemple, s’il a une insuffisance rénale, vous pouvez lui dire : « Ton rein a quelque chose de brisé, alors il fonctionne moins bien. » Expliquez ensuite sa maladie ou ses traitements en utilisant un livre pour enfants sur le sujet ou un jouet.

LIRE AUSSI :   Qui est le meilleur chasseur de chars sovietique?

Quelle est la maladie chronique?

Sous le terme de maladie chronique, l’étude englobe des affections comme l’asthme, mais aussi l’obésité ou encore les phénomènes d’hyperactivité, avec troubles de l’attention. Les résultats présentés dans le JAMA s’appuient sur trois cohortes d’enfants, inclus dans l’enquête alors qu’ils avaient entre deux et huit ans, et suivis durant six ans.

Comment les soins aux enfants porteurs de maladies chroniques ont évolué?

1 L es soins aux enfants porteurs de maladies chroniques ont considérablement évolué. L’élément majeur est l’amélioration du pronostic de beaucoup de maladies liée essentiellement aux progrès techniques. La diversité des maladies chroniques s’est associée à une diversité des situations.

Quelle est l’évolution de l’épidémiologie des maladies chroniques?

10 L’évolution de l’épidémiologie des maladies chroniques de l’enfant au cours des trente dernières années a été abordée par Van Cleave en 2010. Le nombre d’enfants porteurs de maladies chroniques a presque doublé.

Pourquoi ne pas enfermer l’enfant dans sa maladie?

LIRE AUSSI :   Comment resilier alarme orange?

Grandir, jouer, apprendre, être aimé et rassuré… sont des besoins inhérents à l’enfance. Ne pas enfermer l’enfant dans sa maladie mais, au contraire, lui donner la possibilité de se développer et de dépasser ses limites est primordial pour la construction de son identité et de l’image qu’il aura de lui-même.