Comment se retrouvent les réfugiés dans les camps?
Beaucoup de ces réfugiés se retrouvent ensuite dans des camps mal équipés pour faire face à cet afflux sans précédent. Affaiblis par la fatigue, le manque de nourriture, d’eau propre et de médicaments, les réfugiés sont alors les cibles faciles de maladies évitables, mais aux conséquences dramatiques faute de soins.
Comment diviser les réfugiés?
Pour Nicholas Beeching, de l’école de médecine tropicale de Liverpool, en Grande-Bretagne, des obstacles culturels ou de langue peuvent également diviser les réfugiés et les professionnels de la santé. Beaucoup de réfugiés « ne savent pas comment accéder aux soins de santé, même s’ils y ont droit ».
Quelle est la durée de vie de camp de réfugiés?
Un camp de réfugiés a une durée de vie moyenne d’environ 12 ans. Ce chiffre souligne à quel point il importe d’investir dans des abris et des solutions en matière d’hébergement aussi durables que possible.
Qui sont les réfugiés?
Les réfugiés sont des migrants qui ont fui leur pays d’origine pour échapper à des persécutions ou à un danger et qui ont trouvé asile dans un autre pays. Le Canada est depuis longtemps une terre d’accueil pour des migrants du monde entier à la recherche d’un refuge.
Pourquoi vivre dans des camps fermés?
Le fait de vivre dans des camps fermés, isolés du reste de la société, peut conduire à rendre les réfugiés dépendants de l’aide humanitaire. Cela limite considérablement leur capacité à reprendre le contrôle de leurs vies. Cette situation aggrave par ailleurs souvent les traumatismes déjà subis en raison de l’exil lui-même.
Pourquoi le démantèlement du camp de réfugiés de Calais?
Le démantèlement du camp de réfugiés de Calais dans le nord de France n’a pas mis fin aux rêves de Grande-Bretagne des personnes migrantes. Pour se rapprocher de leur Eldorado et en attendant la traversée, elles sont des milliers de personnes, familles, femmes, hommes et enfants, à survivre sur les restes de la jungle.
Qui sont les réfugiés syriens?
Les réfugiés syriens installés à Zaatari et Azraq, en Jordanie, redoutent l’immobilisme engendré par les camps. Leur priorité : travailler et construire un projet, même tout petit.